Veronika décide de mourir – Paulo Coelho

Veronika décide de mourir – Paulo Coelho

Genre : Contemporain
Editions :
J’ai lu
Nombre de pages :
223


Résumé :

Veronika a les mêmes rêves, les mêmes désirs que tous les jeunes gens du monde. Elle a un métier raisonnable et vit dans un petit appartement, s’offrant ainsi le plaisir d’avoir un coin à elle. Elle fréquente les bars, rencontre des hommes. Pourtant, Veronika n’est pas heureuse. Quelque chose lui manque. Alors, le matin du 11 novembre 1997, Veronika décide de mourir. Imagination et rêves, amour et folie. Désir et mort. Alors qu’elle s’approche de la mort, Veronika se rend compte que chaque moment de la vie constitue un choix, celui de vivre ou d’abandonner. Veronika expérimente de nouveaux plaisirs et découvre qu’il y a toujours un sens à la vie. Mais la vie est courte. Veronika a décidé de mourir, et maintenant, elle ne peut renoncer.


Mon avis :

J’ai beaucoup de mal à me positionner, je ne sais pas vraiment ce que j’ai aimé où pas dans ce roman.
Il y a beaucoup de longueur, du coup je ne me suis pas immerger complètement dans l’histoire, ni a saisir certains liens, que ce soit entre les personnages ou par rapport au déroulement de l’histoire en elle-même.

Concernant les personnages, je ne me suis pas du tout attaché à eux, pourtant leurs histoires sont bien retranscrites, mais sans vrai fil conducteur, ce qui m’as laissé, disons-le, un peu perplexe sur l’utilité de certains d’entre eux.

L’histoire et la façon dont celle-ci est racontée est assez étrange, même un peu creuse. J’ai failli abandonner ma lecture, mais je lui ai quand même laissé une chance car je voulais voir où l’auteur nous emmenait et pourquoi.
D’ailleurs, la fin est intéressante, et nous apporte une petite morale sur la prise de conscience de l’importance de la vie quand on est confronté à sa future mort, mais bon 200 pages pour en arriver là, c’est un peu plat tout de même.

Une chose m’as vraiment dérangé, c’est l’intrusion de l’auteur lui-même, à environ 30 pages du début.
Pendant tout un chapitre, il parle de lui…
Euh pourquoi?
Un peu narcissique je trouve…

Pour conclure :

Une lecture en demi-teinte, qui ne restera pas longtemps dans ma mémoire.

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